À propos
Services
Équipe du CMS
Équipe interdisciplinaire
L’agent(e) administratif(ve) accueille, informe, dirige les patient(e)s et les accompagnateurs qui se présentent au Centre des maladies du sein pour leur rendez-vous avec un professionnel médical de la clinique ou en salle de traitement.
Comme pour les secrétaires médicales, il/elle répond aux appels téléphoniques et dirige, si nécessaire, vers le bon professionnel en fonction des besoins mentionnés.
II/elle enregistre et coordonne les rendez-vous avec les médecins, les professionnels médicaux et pour la salle de traitement selon les demandes des médecins et les exigences des traitements. Il/elle contacte par téléphone chaque patient pour l’informer de la date et l’heure de son rendez-vous. Il/elle soutient l’équipe multidisciplinaire dans les fonctions administratives.
Au CMS, c’est une infirmière spécialisée en oncologie qui est responsable de la coordination des soins administrés auprès de la clientèle nécessitant des soins en salle de traitement.
Elle vérifie chaque ordonnance médicale au dossier oncologique et s’assure de la bonne planification des traitements administrés par son équipe soignante. Elle coordonne selon des critères rigoureux les soins administrés auprès des patients afin d’assurer la sécurité et le bien-être tant de la clientèle que de son équipe.
Elle collabore également avec l’équipe médicale, les pharmaciens de notre milieu et les autres membres du Centre des maladies du sein afin de répondre aux besoins de la clientèle.
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Dominique Boudreau
Docteure Dominique Boudreau est chirurgienne-oncologue. Elle a débuté sa pratique au Centre des Maladies du Sein en 2014. Elle a fait son doctorat en médecine et sa résidence en chirurgie générale à l’Université de Montréal. Elle a ensuite fait une surspécialisation de deux ans en chirurgie oncologique à l’Université McGill. Elle a aussi complété une formation complémentaire en oncoplastie mammaire à l’Institut Curie, à Paris.
Docteure Boudreau est professeure de clinique à l’Université Laval. Elle participe à la formation d’étudiants en médecine, d’externes, de résidents et de moniteurs cliniques. Elle est également membre du comité de programme de chirurgie générale et responsable d’une formation de surspécialité en chirurgie oncologique mammaire.
Comme membre de l’équipe de recherche du CHU de Québec – Université Laval, elle participe activement à plusieurs projets de recherche. Les patientes ont ainsi l’opportunité de participer à ces projets qui permettent la découverte de nouveaux traitements en cancer du sein.
Christine Desbiens
Docteure Christine Desbiens est chirurgienne oncologue et professeure agrégée de clinique au CHU de Québec – Université Laval. Elle a été directrice médicale du Centre des Maladies du sein, rôle qu’elle a tenu de 2015 à 2020.
Elle a obtenu son doctorat en médecine et reçu son diplôme de chirurgie générale à l’Université Laval. Elle a complété une surspécialisation en cancer du sein au London Regional Cancer Center affilié à l’université Western en Ontario.
Elle pratique comme chercheure et clinicienne dans l’axe Oncologie du centre de recherche du CHU de Québec depuis 1999. Elle est membre et responsable des études cliniques du Canadian Cancer Trial Group (CCTG) au CHU de Québec – Université Laval.
Elle s’intéresse aux recherches dans plusieurs phases du cancer du sein, du dépistage jusqu’à la maladie métastatique incluant les volets innovateurs en chirurgie et en oncoplastie du sein. Elle participe en tant qu’investigatrice et co-investigatrice dans de nombreux essais cliniques randomisés.
Son intérêt en génétique depuis plusieurs années l’a conduit à faire partie des instigateurs du réseau en oncogénétique du RUIS de l’Université Laval récemment implanté.
Brigitte Poirier
Dre Brigitte Poirier est chirurgienne-oncologue et professeur de clinique à l’Université Laval. Depuis janvier 2021, elle est responsable médicale du Centre médical du centre des maladies du sein.
Après son doctorat en médecine de l’Université Laval, elle y complète sa résidence en chirurgie générale en 2002. En 2005, elle se joint à l’équipe médicale et chirurgicale du Centre des maladies du sein après une surspécialisation en chirurgie oncologique de l’Université de Toronto et de ses centres oncologiques affiliés.
Comme investigatrice, elle offre à de nombreuses patientes l’opportunité de participer à plusieurs essais et recherches cliniques qui permettent de très belles avancées dans la prise en charge des patientes atteintes de cancer du sein
Consciente de l’importance de l’enseignement, elle a été membre jusqu’en 2021, du comité de programme de la résidence en chirurgie générale de l’Université Laval et responsable des résidents de chirurgie à l’Hôpital du Saint-Sacrement.
Éric Poirier
Diplômé de l’université Laval (Doctorat en médecine) et de l’université de Montréal (Chirurgie Générale), le Dr Éric Poirier a complété sa sur-spécialisation de Chirurgien Oncologue à l’université McGill en 2008. Il pratique depuis 2010 au CHU de Québec et est professeur de clinique du département de chirurgie de l’Université Laval. Il est activement impliqué aux soins des patient(e)s de la clinique des maladies du sein de l’hôpital St-Sacrement tout en faisant partie de l’équipe de recherche clinique avec ses collègues de l’équipe médicale. Il présente également un intérêt particulier sur les soins de fin de vie, permettant d’offrir une approche humaine aux patient(e)s de son équipe lorsque nécessaire.
Gabrielle Bergeron Giguère
Dominique Leblanc
Claudya Morin
Docteure Claudya Morin est chirurgienne générale surspécialisée en oncologie mammaire à l’Hôpital du Saint-Sacrement CHU de Québec – Université Laval. Elle a débuté sa pratique au Centre des Maladies du Sein (CMS) en 2021. Sa formation de maîtrise en Épidémiologie Clinique lui permet d’être une chercheure associée au sein de l’axe Oncologie et de collaborer activement à plusieurs projets de recherche en ayant à cœur que le meilleur pour ses patientes. Également professeure de clinique, elle participe avec intérêt à l’enseignement des externes et des résidents de l’Université Laval.
Après son doctorat en médecine et sa résidence en chirurgie générale à l’Université Laval, elle a fait une surspécialisation de deux ans en oncologie mammaire et en recherche clinique au Maimonides Medical Center, centre d’expertise oncologique à Brooklyn, New York, en association avec le CMS.
Le chef de service est la personne qui est responsable de la gestion des ressources humaines, matérielles, financières et informationnelles du Centre des Maladies du Sein (CMS). Elle travaille en collaboration avec les différents professionnels qui œuvrent au sein du Centre des maladies du sein CMS afin d’assurer la coordination des activités cliniques et administratives de la salle de traitement, des services de consultations spécialisées en oncologie médicale (lien à faire avec Équipe partenaire, Équipe d’oncogénétique) et chirurgicale de l’Hôpital du Saint-Sacrement ainsi que du service d’oncogénétique du CMS. Elle est également responsable du centre de coordination des services régionaux du Programme Québécois de Dépistage du Cancer du Sein (PQDCS) (lien à faire avec Équipe partenaire, Programme de …) et de la gestion des programmes de dépistage.
Sandra Blanchette
André Blais
André Blais hémato-oncologue au CHU de Québec – Université Laval et à l’IUCPQ. Il a reçu une formation de spécialiste en médecine interne, hématologie, et oncologie médicale. Il a complété un fellowship en oncologie médicale au Princess Margaret Hospital, à Toronto. Sa pratique principale est en oncologie thoracique, mammaire et neuro-oncologie.
Guy Cantin
Dr Guy Cantin est un hémato-oncologue, certifié FRCP(c) Hématologie en 1982, FRCP(c) Oncologie médicale en 1985, professeur de clinique à l’Université Laval depuis 1985 et promu agrégé en 2001. Après avoir terminé sa formation académique à la faculté de médecine de l’Université Laval, il a complété un Fellowship de 2 ans au University Medical Center de Rochester, New-York.
Ses principaux champs d’expertises concernent l’investigation et le traitement des néoplasies hématologiques, la greffe de moëlle osseuse, les néoplasies mammaires et les néoplasies du système digestif. Il est impliqué en recherche dans plusieurs essaies cliniques multi-centres en hémato-oncologie.
Catherine Doyle
Dre Catherine Doyle est hémato-oncologue et professeure agrégée de clinique à l’Université Laval.
Après son doctorat en médecine à l’université Laval, elle y complète sa résidence en hématologie suivie d’un fellowship en oncologie médicale à l’hôpital Princess Margaret à Toronto. En 2000, après quelques années de pratique au Centre Hospitalier Régional de Rimouski, elle se joint à l’équipe du Centre des maladies du sein tout en faisant aussi partie du groupe des hémato-oncologues qui dessert actuellement le CHU de Québec.
Elle est impliquée comme investigatrice dans différents projets de recherche clinique offerts aux patientes du Centre des maladies du sein. Elle œuvre aussi pour l’accès aux nouveaux médicaments au formulaire de l’hôpital à titre de présidente du sous-comité de chimiothérapie du CHU de Québec depuis plusieurs années.
Directrice du programme de résidence en hématologie de l’Université Laval jusqu’à tout dernièrement, elle a toujours été très impliquée en enseignement.
Julie Lemieux
Docteure Julie Lemieux est hémato-oncologue au CHU de Québec et membre du Centre des maladies du sein. Elle est chercheure-clinicienne dans l’axe oncologie du centre de recherche du CHU de Québec – Université Laval. Elle a obtenu son doctorat en médecine à l’Université Laval et a complété ses études postdoctorales (fellowship) en cancer du sein au centre hospitalier Mont Sinai où elle a obtenu également une maîtrise en épidémiologie clinique à l’Université de Toronto. Elle travaille au CHU de Québec depuis 2006.
Dr Lemieux est membre des comités de qualité de vie et du cancer du sein du Groupe Canadien des Essais sur le Cancer (CCTG). Elle est également membre du comité scientifique du Consortium Mcpeak-Sirois et du Registre québécois du cancer du sein métastatique.
Ses activités de recherche s’articulent autour du cancer du sein, de la qualité de vie, de la toxicité des traitements et de l’utilisation de l’intelligence artificielle.
L’infirmière auxiliaire apporte son soutien à l’équipe d’infirmière en oncologie de la salle de traitement. Elle accueille la clientèle, vérifie le poids et la taille, prend les signes vitaux, installe et retire des solutés. Ce professionnel accompagne la clientèle ayant besoin d’assistance pour les déplacements vers la salle de toilette et s’assure du confort de la clientèle.
L’infirmière en clinique externe travaille en étroite collaboration avec les médecins de la clinique. Lors d’un rendez-vous, elle participe à l’évaluation de l’état de santé des patient(e)s et effectue un soutien au médecin pour les techniques de soins, tel que les biopsies, les ponctions de sérome, le drainage d’abcès et l’installation de drain.
Cette professionnelle effectue les traitements médicaux, selon une ordonnance, tels que le retrait de drain, le retrait de points de sutures, la réfection de pansements. Elle détermine aussi le plan de traitement relié aux plaies métastatiques. Ella assure le suivi nécessaire.
L’infirmière en clinique externe répond aussi aux appels ponctuels des patient(e)s, et exécute une évaluation téléphonique afin de déterminer la nécessité d’une évaluation médicale. Elle planifie et coordonne le rendez-vous au besoin. Elle répond aux questions des patient(e)s pour ainsi renforcir l’enseignement reçu pour les soins post-opératoires, et pour répondre à leurs inquiétudes/questionnements.
Elle participe à la priorisation des demandes de consultations pour le CMS, selon une ordonnance collective.
Depuis la pandémie COVID, l’infirmière de la clinique externe coordonne la trajectoire des patient(e)s ayant un diagnostic de COVID positif ou symptomatiques, pour les secteurs de la clinique externe du CMS et de la salle de traitement de chimiothérapie.
L’infirmière de la salle de traitement reçoit la clientèle selon un horaire préétabli. L’infirmière est à l’écoute des besoins de celle-ci. Elle évalue l’état général, répond à ses questions en lien avec les traitements. Elle peut renseigner et/ou référer, selon son évaluation, au professionnel adéquat.
Elle confirme le traitement à donner auprès de l’assistance infirmière chef (AIC) et de l’équipe de pharmaciens du Centre des maladies du sein. Selon une formation reçue et en respectant les normes en oncologie, elle administre avec vigilance les traitements prescrits par l’oncologue.
Qui est l’infirmière-pivot en oncologie?
L’infirmière-pivot en oncologie est une personne-ressource spécialisée en cancer du sein et accessible tout au long du suivi au Centre des maladies du sein. Elle occupe un rôle de première ligne auprès de la clientèle touchée par cette maladie.
Quel est le rôle de l’infirmière-pivot en oncologie?
Cette professionnelle est disponible pour la personne atteinte du cancer et ses proches pour :
- évaluer les besoins physiques, psychologiques, sociaux et éducatifs
- informer / enseigner sur la maladie, les traitements, la trajectoire, les ressources etc.
- coordonner certains services interhospitaliers de la région et de l’extérieur de celle-ci
- soutenir et orienter vers la bonne ressource (professionnelle, fondation, CLSC etc.) lorsque nécessaire.
Ainsi, elle répond aux questions et aux préoccupations, aide à la prise de décision thérapeutique, facilite l’adaptation, accompagne à la navigation dans le système de santé, tente de mieux gérer les impacts ainsi que les effets secondaires des traitements.
Quelle est son implication dans le milieu professionnel?
Elle collabore avec l’équipe médicale (lien à prévoir), les membres de l’Oncologie psychosociale et spirituelle, le personnel du CLSC et les partenaires du Centre des maladies du sein.
Quand et comment rejoindre l’infirmière-pivot en oncologie?
Pour toutes les questions en lien avec le cancer et ses conséquences, vous pouvez rejoindre l’infirmière-pivot en oncologie de garde vous-même en composant le 418 525-4444 poste 84627 et laisser votre message sur le répondeur. Elle retournera votre appel sur les heures de bureau de la clinique. Votre médecin ou un autre professionnel de la santé peut vous référer à une infirmière-pivot, et ce, à tout moment de votre trajectoire oncologique.
Isabelle Duchesneau-Huot
Martine Lemay
Liette Martel
Valérie Roy
Que sont les services de soins spirituels ?
Comme on l’entend souvent, la maladie bouleverse bien des choses qu’on pensait acquises. Les services de soins spirituels sont là pour accompagner les personnes aux prises avec des questionnements de sens, afin de les aider à trouver dans leur expérience l’espérance et la paix. Cet accompagnement spirituel s’inscrit dans une perspective globale, prenant en compte toutes les dimensions de la personne : physique, psychique et spirituelle, tout en se concentrant sur cette dernière. Dans un esprit d’ouverture à la diversité des expériences, le concept de spiritualité est considéré dans son sens global et n’est donc lié à aucune religion spécifique.Qu’est-ce que l’intervention en soins spirituels ?
L’intervention en soins spirituels mobilise les ressources spirituelles de l’usager, contribuant ainsi à son mieux-être global. Elle est sous la responsabilité de l’intervenant en soins spirituels (ISS), qui est membre de l’équipe interdisciplinaire et qui détient un baccalauréat en théologie ou en sciences religieuses, ainsi qu’une formation spécialisée de deuxième cycle universitaire dans le domaine de l’accompagnement spirituel en milieu de santé. Au CMS, il y a une intervenante en soins spirituels à temps plein et plusieurs collaborateurs occasionnels, selon les besoins.Que fait l’intervenant en soins spirituels en oncologie ?
À partir d’une évaluation personnalisée, l’ISS identifie les ressources et les besoins spirituels de l’usager tout en proposant des pistes d’intervention 1:- Accompagnement individuel : Écoute et soutien à partir des besoins identifiés.
- Ateliers « Cancer et spiritualité » (lien) : quatre rencontres, entre pairs, pour réfléchir, approfondir, partager et intégrer certaines expériences référant à leur dimension spirituelle. Un lieu d’écoute, de soutien et d’entraide qui fait du bien!
- Initiation à la méditation (lien) de type pleine conscience : huit ateliers pratiques en petits groupes contribuant à la santé globale de l’usager et à une exploration de ce qui le fait vivre en profondeur.
Comment demander une rencontre en soins spirituels?
Tout membre de l’équipe de soins (Infirmière-pivot en oncologie (lien), infirmière, médecin, travailleur social (lien), etc.) peut vous référer à une ISS qui vous contactera par la suite pour une première rencontre d’échange sur vos besoins. Par la suite, une démarche d’accompagnement vous est proposée.Qui est le kinésiologue ?
Selon la Fédération des kinésiologues du Québec, le kinésiologue est le professionnel de la santé expert du mouvement humain, qui utilise l’activité physique et motrice à des fins de prévention, de traitement et de performance.
Quel est son rôle au CMS ?
Le rôle du kinésiologue est d’accompagner les usagers dans l‘intégration ou le maintien d’activités physiques pour bénéficier des nombreux effets positifs de l’exercice à court, moyen et long terme. Ce professionnel peut aider à
- Augmenter ou garder votre motivation à faire de l’exercice
- Intégrer progressivement l’activité physique à vos habitudes de vie
- Vous accompagner dans la gestion de vos activités physiques en cours de traitement
- Conserver ou améliorer votre condition physique
- Offrir des séances de conditionnement physique en groupe.
Que disent les études scientifiques ?
Les études scientifiques ont démontré de façon très convaincante le rôle de l’activité physique dans un contexte de traitement pour le cancer du sein. En effet, l’activité physique aide à
- Diminuer la fatigue, les symptômes dépressifs et l’anxiété
- Améliorer la qualité de vie et les capacités physiques
- Prévenir le lymphœdème (chez les patientes à risque)
Les études tendent également à démontrer un rôle important de l’activité physique dans la prévention et la gestion de plusieurs conditions associées au cancer : la cardio-toxicité, les neuropathies périphériques, les douleurs, les nausées, la fonction cognitive, la tolérance aux traitements, la santé osseuse ainsi que le sommeil.
En plus de tous ces éléments, l’activité physique a démontré son rôle majeur dans la prévention du cancer et de sa récidive. En effet, chez les femmes qui font de l’activité physique régulière (150 minutes par semaine), par rapport aux femmes moins actives, on a observé :
- Une diminution des risques de récidives de cancer du sein
- Une diminution de la mortalité liée au cancer du sein
- Une diminution de la mortalité toutes causes confondues.
Quels sont les services offerts gratuitement au CMS par la kinésiologue ?
Les services en kinésiologie s’adressent à la clientèle atteinte de cancer désirant :
- Recevoir de l’information concernant l’activité physique en lien avec le diagnostic de cancer ou ses traitements
- Être accompagnée dans l’intégration ou la gestion des activités physiques en lien avec le diagnostic de cancer ou ses traitements
- Participer à des séances de conditionnement physique de groupe, adaptées aux réalités et au contexte de traitements (2 séances données par semaine).
Veuillez noter que les services sont offerts à partir du moment du diagnostic et jusqu’à 6 mois après la chirurgie ou la fin des traitements actifs (chimiothérapie et radiothérapie).
Comment rejoindre la kinésiologue ?
Si vous désirez vous inscrire ou avoir de l’information supplémentaire sur le service offert en kinésiologie, vous pouvez communiquer avec le guichet psychosocial et spirituel en composant le 418 525-4444 poste 67202, téléphoner à une infirmière-pivot en oncologie ou parler, lors d’une visite médicale, à votre médecin du Centre des maladies du sein.
Catherine Marier
Qu’est-ce que le service de nutrition clinique?
Le service inclut une évaluation nutritionnelle spécialisée afin d’identifier les problèmes nutritionnels existants ainsi que le risque d’en développer en raison de la maladie ou du traitement oncologique. Suite à la rencontre avec la nutritionniste, un plan de traitement personnalisé est établi. La nutritionniste travaille en équipe interdisciplinaire avec médecins, pharmaciens et professionnels de la santé.
Quelles sont les particularités de l’évaluation nutritionnelle au Centre des maladies du sein (CMS)?
- Le rôle de la nutritionniste est de favoriser un état nutritionnel optimal afin d’augmenter la probabilité de réaction favorable aux traitements en prévenant, minimisant, stabilisant ou renversant la malnutrition ou tout autre problème nutritionnel jugé pertinent, identifié lors de l’évaluation nutritionnelle.
- Prescrire une alimentation adaptée pour prévenir, minimiser ou traiter les effets secondaires de la tumeur ou des traitements antinéoplasiques qui altèrent la capacité à s’alimenter ou à métaboliser les nutriments.
- Assurer des apports alimentaires adéquats par l’alimentation ou par la prescription de suppléments nutritifs.
- Améliorer la qualité de vie des usagers atteints du cancer du sein.
Quelles sont les conditions d’accès à une rencontre avec la nutritionniste?
- Avoir des symptômes digestifs qui perdurent depuis plus d’une semaine.
- Présenter des difficultés de déglutition (dysphagie)
- Perte pondérale de plus de 5% en 1 mois.
- Gain pondéral involontaire de plus de 10%, relié au traitement du cancer.
Geneviève Alain
Jocelyne Chiquette
Le Dr Jocelyne Chiquette est omnipraticienne et cofondatrice du Centre des maladies du sein Deschênes-Fabia de l’hôpital Saint Sacrement du CHU de Québec-Université Laval en 1974. Actuellement, sa pratique clinique est orientée vers les femmes à risque et l’évaluation en oncogénétique. Elle est aussi médecin responsable du Centre de coordination des services régionaux (CCSR) pour le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) dans la région de la Capitale-Nationale depuis 2008. Elle est chercheure au centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval dans l’axe oncologie. Sa recherche touche principalement la génétique des cancers du sein et de l’ovaire et leur impact psychosocial. Depuis plusieurs années, elle collabore avec le Pr Jacques Simard dans le projet PERSPECTIVE et PERSPECTIVE I & I concernant le dépistage adapté au risque. Avec le Pr Michel Dorval, elle a mis sur pied un réseau d’oncogénétique : le Réseau ROSE. Depuis 2020, à la demande du RUISSS-UL, elle a collaboré à la formalisation du réseau d’oncogénétique de l’est du Québec, le ROEQ dont le CHU de Québec-UL est responsable. Elle est professeure de clinique au département de médecine familiale de la faculté de médecine de l’Université Laval. Elle participe à divers comités régionaux et provinciaux en lien avec le cancer du sein.
Elle a donné plusieurs conférences tant pour les intervenants que pour le grand public. Elle est auteure de plusieurs articles scientifiques, de livrets d’information pour les personnes à risque héréditaire de cancer, du livre La sénologie au quotidien disponible sur www.depistagesein.ca et du chapitre sur l’examen clinique du sein du livre utilisé par les étudiants en médecine : Démarche clinique. Raisonnement clinique, examen physique, entrevue médicale des auteurs François Ratté, Julie F. Thériault, Isabelle Collin, publié en février 2012 et dont la 3e édition date de septembre 2023.
Elle a participé à l’élaboration et à la mise à jour du site www.depistagesein.ca. ainsi qu’à la création des sites internet www.reseaurose.ca et www.etudeperspective.ca et aux livrets destinés à la clientèle à risque de cancer : Consulter en génétique : Cancer du sein ou de l’ovaire, Envisager une mastectomie préventive avec ou sans reconstruction, Dire à son enfant qu’on est porteur d’une mutation du gène BRCA1 ou BRCA2.
Maryse Joyal
Docteure Maryse Joyal est médecin au CMS depuis 1998. Après avoir gradué en médecine en 1986 à l’Université de Montréal, elle a complété en 1987 un internat multidisciplinaire d’un an à l’Hôpital de Verdun. Elle a ensuite pratiqué la médecine de famille au Centre Hospitalier de l’Archipel aux Iles de la Madeleine jusqu’en 1995. De retour à Québec, elle fût responsable des soins moyen séjour à l’Hôpital du Christ-Roy de 1996 à 1998. Elle a maintenant une pratique exclusive au CMS depuis 1998. Elle est aussi chargée d’enseignement clinique au Département de médecine familiale de l’Université Laval. Elle est responsable des stages au CMS des externes et résidents de médecine familiale, et collabore à ceux des résidents juniors en chirurgie.
Pharmacien d’oncologie
Plusieurs options de traitement différentes sont disponibles pour les patientes atteintes de cancer du sein. Le rôle joué par le pharmacien de la clinique d’oncologie du Centre des maladies du sein (CMS) auprès des patientes varie selon le traitement prescrit.
Le pharmacien intervient auprès des patientes qui reçoivent des traitements intraveineux en salle de traitement (chimiothérapie, immunothérapie, thérapie ciblée HER2) ou des traitements par voie orale (ex : chimiothérapie orale ou thérapie ciblée (ex : Inhibiteur PARP, inhibiteur du CDK 4/6 ou inhibiteur de la mTor)).
Pour toutes ces patientes, avant de débuter le traitement, le pharmacien de la clinique d’oncologie vérifie les interactions médicamenteuses et les tests de laboratoires. Il fait ensuite un enseignement ciblé auprès de la patiente sur les différents effets indésirables potentiels et explique à celle-ci comment les prévenir ou les atténuer. Il s’assure que les thérapies de support à la prévention des effets indésirable soient prescrites s’il y a lieu. Il remet ses coordonnées (numéro de téléphone 418 525-4444 poste 84698) à la patiente, qui peut joindre le pharmacien d’oncologie du Centre des maladies du sein sur les heures de bureau si problèmes ou effets indésirables, et ce, pendant toute la durée du traitement. Finalement, il s’assure, le cas échéant que les formulaires de remboursement de médicaments pour les assurances soient complétés.
Selon le traitement prescrit, le pharmacien d’oncologie assurera un suivi systématique des effets secondaires et des tests de laboratoire tout au long du traitement (ex : chimiothérapie intraveineuse, certains traitement par voie orale (inhibiteurs CDK 4/6).
Pour les autres traitements (ex : Capécitabine/Xéloda ou Évérolimus/Afinitor), le pharmacien n’assure pas de suivi systématique mais demeure disponible au besoin. Cette clientèle est généralement dirigée vers les infirmières-pivot en oncologie et leur oncologue.
N.B. L’offre de service du pharmacien ne s’applique pas aux patientes sous thérapie antihormonale en monothérapie. Cette clientèle doit s’adresser à l’infirmière-pivot en oncologie, à leur pharmacien communautaire, à leur médecin de famille ou à leur oncologue.
Romy Chevalier
Isabelle Côté
Sophie Dusablon
Sébastien Faucher
Chantal Gagnon
Marie-Julie Roy
Qu’est-ce que la physiothérapie?
La physiothérapie permet l’acquisition des capacités physiques nécessaires à la réalisation des activités de la vie quotidienne, à l’accomplissement d’un travail, d’un loisir ou d’un sport. Elle est axée sur l’autoresponsabilisation du patient.Particularités de la physiothérapie au Centre des maladies du sein (CMS)
Le rôle du physiothérapeute du CMS est d’évaluer, à la demande d’un médecin du CMS, la condition physique d’une patiente après sa chirurgie afin de déterminer s’il est pertinent d’entreprendre un suivi personnalisé en physiothérapie. 8 à 12 séances peuvent être offertes. Un délai est possible entre le moment de la réception de la demande de consultation et la prise du premier rendez-vous.Ai-je besoin d’un suivi en physiothérapie?
Différentes conditions peuvent requérir une évaluation physiothérapie à la suite d’une chirurgie du sein, notamment :- Diminution importante de la mobilité de l’épaule découlant de la chirurgie, et ce, malgré les exercices (lien vers la page du programme d’exercice du physio) faits auparavant;
- Présence d’un lymphœdème (gonflement dû à une accumulation de liquide lymphatique) au niveau du bras ou du sein du côté opéré.
Quelle est l’implication de la cliente dans un suivi en physiothérapie?
Un engagement quotidien de votre part est essentiel à la réalisation des exercices devant être effectués à votre domicile. En présence d’un lymphœdème, (lien vers lymphœdème prévu) vous devez appliquer vous-même les techniques de traitement enseignées et défrayer les coûts liés à l’achat du matériel requis (ex. le manchon, les bandages).La préposé(e) et l’assistant(e) technique s’assurent de l’approvisionnement du matériel du Centre des maladies du sein (CMS), des bureaux des médecins et des infirmières cliniciennes de la clinique externe ainsi que de la salle de traitement et des réserves. Cet(te) employé(e) participe, selon sa formation, au soutien auprès des infirmières de la salle de traitement en veillant au confort des patients, en désinfectant les fauteuils et le matériel entre chaque admission de patients dans la salle de traitement.
Quel est le rôle du ou de la psychologue en oncologie?
Le psychologue au Centre des maladies du sein offre des services d’évaluation et d’intervention psychologique (psychothérapie), individuelle ou de groupe, dans le but d’aider la personne atteinte de cancer à mieux comprendre les conséquences de la maladie et des traitements et à développer des moyens pour composer avec celles-ci. Ces interventions vont au-delà d’une aide visant à faire face aux difficultés courantes ou d’un rapport de conseils ou de soutien. Elles peuvent servir à :
- Déterminer les facteurs qui contribuent à une souffrance psychologique
- Émettre un diagnostic psychologique
- Améliorer la santé psychologique, les capacités d’adaptation et la qualité de vie de la personne atteinte de cancer
- Favoriser chez la personne des changements dans son fonctionnement cognitif (les pensées), émotionnel, comportemental ou dans ses relations
Quand puis-je avoir recours à de l’aide psychologique?
Les services en psychologie s’adressent aux personnes qui ont beaucoup de difficulté à composer avec la maladie, telles que :
- Détresse psychologique en lien avec le cancer ou ses traitements (p.ex. tristesse, peur, colère)
- Difficultés d’adaptation qui se prolongent dans le temps
- Besoin de préciser un diagnostic (p.ex. dépression, trouble anxieux)
- Présence d’un trouble mental préexistant ayant un impact sur l’adaptation à la maladie
- Difficulté dans la prise de décision et dans l’adhésion au traitement
Comment puis-je avoir accès aux services d’un psychologue en oncologie?
Tout membre de l’équipe soignante (infirmière-pivot en oncologie (lien), infirmière, technologue, médecin, travailleur social (lien), etc.) peut vous référer en psychologie. Vous serez alors contactée par une infirmière clinicienne qui vous posera des questions afin de préciser vos difficultés et vos besoins. Il se peut qu’elle vous propose un rendez-vous en psychologie ou qu’elle vous redirige vers une autre ressource.
Aude Caplette-Gingras
Alexandra Champagne
Véronique Roy
Samuel Bergeron Gravel
Dre Samuel Bergeron Gravel est radio-oncologue et chargée d’enseignement clinique à l’Université Laval.
Après son doctorat en médecine à l’Université de Sherbrooke, elle a complété sa résidence en radio-oncologie à l’Université Laval en 2019. En 2020, elle s’est joint à l’équipe de radio-oncologie du CHU de Québec-Université Laval suite à une surspécialisation en traitement des tumeurs pédiatriques, des tumeurs du système nerveux central et des lymphomes. Ayant un fort intérêt pour le cancer du sein et ses traitements depuis sa résidence, elle a aussi rejoint, dès son arrivée, l’équipe médicale du Centre des maladies du sein. Le traitement du cancer du sein fait partie de sa pratique quotidienne.
Ayant à cœur le développement des connaissances, elle offre à ses patientes l’opportunité de participer à plusieurs protocoles de recherche qui permettent des avancées importantes dans le traitement du cancer du sein.
Impliquée auprès des résidents, elle fait partie du comité de programme et du comité de compétences du programme de résidence en radio-oncologie de l’Université Laval, et ce, depuis le début de sa pratique.
Dre Samuel Bergeron Gravel, MD, FRCPC,
Radio-oncologue
CHU de Québec-Université Laval
Mélanie Gaudreault
Dre Mélanie Gaudreault est radio-oncologue et professeure de clinique à l’Université Laval.
Après son doctorat en médecine, elle a complétée sa résidence en radio-oncologie à l’Université Laval en 2009. Elle a complété une surspécialité en contrôle des symptômes à l’Université de Calgary.
En 2010, elle se joint au service de radio-oncologie du CHU de Québec. Elle y traite principalement des néoplasies mammaires et pulmonaires et s’implique dans le groupe de radiothérapie stéréotaxique.
Elle participe à différents projets de recherche en oncologie avec l’équipe du CHU de Québec.
Finalement, elle s’implique dans la formation des étudiants en médecine et des résidents en radio-oncologie comme en témoignent ses nombreuses implications à l’Université Laval.
Isabelle Germain
Dre Isabelle Germain est radio-oncologue au Service de radio-oncologie du CHU de Québec-Université Laval depuis 1996. Elle a complété un Fellowship d’un an à Paris en oncologie mammaire et gynécologique. Elle est professeur agrégée de clinique au Département de médecine de l’Université Laval ainsi que chercheur associé au Centre de recherche du CHU de Québec – Université Laval.
Clinicienne active, elle s’est toujours pleinement investie en cancérologie depuis ses débuts. Dre Germain a été membre du Comité de spécialité du Collège Royal en radio-oncologie puis Vice-présidente du Comité d’examens du Collège Royal. Elle a été directrice du programme de médecine palliative de l’Université Laval de 2003 à 2007. De 2007 à 2016, elle a été chef du Département de radio-oncologie au CHU de Québec. De plus, elle a présidé le Comité national de radio-oncologie au MSSS de 2009 à 2014. Depuis 2018, elle assume le rôle de cogestionnaire médicale du programme de Cancérologie au CHU de Québec.
Détentrice d’une maîtrise en médecine expérimentale (MSc), elle s’est aussi activement impliquée en recherche clinique dans le domaine du cancer du sein, principalement dans le secteur de l’irradiation mammaire partielle. Elle participe également comme investigateur local à plusieurs protocoles de recherche clinique avec le NCIC et le NRG.
Par toutes ces implications, Dre Germain a su démontrer son engagement actif et son leadership dans l’amélioration globale de la qualité des soins et dans la promotion de la recherche clinique en cancérologie au Québec.
Nathalie Lessard
Dre Nathalie Lessard est radio-oncologue et professeur agrégé de clinique à l’Université Laval.
Après son doctorat en médecine à l’Université de Sherbrooke, elle a complété sa résidence en radio-oncologie en 2007 à l’Université Laval. Elle a fait une surspécialisation à l’Institut Gustave-Roussy à Paris en tumeurs cérébrales et lymphome. Depuis son retour au CHU de Québec en 2008, elle est impliquée dans la prise en charge des patientes atteintes de cancer du sein, en plus de ses autres champs d’expertise en tumeurs cérébrales, métastases cérébrales, lymphome et sarcome.
Elle participe à la formation des résidents et externes en radio-oncologie. Elle est aussi impliquée dans le Comité des examens de spécialités en radio-oncologie au Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada depuis 2016.
Elle participe à plusieurs protocoles de recherche clinique visant à améliorer la prise en charge des patientes atteintes de cancer du sein.
Mélanie Létourneau
Dre Mélanie Létourneau est radio-oncologue au CHU de Québec depuis 2015. Après l’obtention de son Doctorat en médecine à l’Université Laval, elle a complété sa résidence en radio-oncologie en 2014. Elle a ensuite poursuivi sa formation en acquérant une surspécialisation en pédiatrie et pathologies du système nerveux central au Centre universitaire de santé McGill. De par son grand intérêt en cancer du sein, elle a intégré l’équipe de radio-oncologues spécialisés en pathologies mammaires dès son arrivée au CHU et participe activement à diverses sphères d’activité touchant ce site tumoral.
Valérie Théberge
Dre Valérie Théberge est radio-oncologue surspécialisée en cancer du sein et professeure de clinique à la Faculté de médecine de l’Université Laval.
Elle a obtenu son doctorat en médecine à l’Université de Sherbrooke puis son diplôme de spécialité en radio-oncologie à l’Université Laval. Elle a, par la suite, complété une surspécialisation en cancer du sein à l’Université McMaster en Ontario. Elle est chercheuse dans l’axe oncologie du Centre de recherche du CHU de Québec et responsable de la recherche clinique en cancer du sein en radio-oncologie au CHU de Québec. Elle est impliquée également au niveau canadien comme membre du comité exécutif pour la recherche en cancer du sein au Canadian Cancer Trials Group (CCTG).
Ses principaux champs d’intérêt sont l’amélioration des techniques de radiothérapie en cancer du sein et l’élaboration de traitements ciblés selon la biologie de la maladie dans le but de diminuer les effets secondaires et d’améliorer la qualité de vie des patientes. Sur le volet académique, elle est impliquée dans la formation des résidents en radio-oncologie au CHU de Québec et dans la formation continue de ses collègues radio-oncologues au Québec.
Le secrétaire médical assure le soutien administratif à l’équipe du Centre des maladies du sein (CMS). Il répond à vos appels téléphoniques, transmet vos messages à votre médecin ou à un autre membre de l’équipe en mesure de vous répondre à vos questions ou à vos besoins. Sous la supervision et l’approbation de l’équipe médicale, il peut vous communiquer des résultats d’examens. À la demande de votre médecin, il s’occuper d’acheminer des prescriptions et des formulaires d’assurances et ce, par la poste, par courriel ou par télécopieur. Il coordonne et tient à jour les calendriers des activités de notre centre. Il maintient l’équipement de bureau afin d’assurer le fonctionnement efficace de notre service. Il veille à protéger la confidentialité des documents.
Kristelle Blanchette
Quel est le rôle du ou de la sexologue en oncologie ?
La sexologue au Centre des maladies du sein offre des services d’évaluation et d’intervention en sexothérapie individuelle ou de couple afin d’aider la personne atteinte de cancer (et son-sa partenaire, le cas échéant), à mieux comprendre les conséquences de la maladie et des traitements sur sa sexualité et son intimité et à développer des moyens pour composer avec celles-ci. Ces interventions peuvent servir à :
- Favoriser l’adaptation aux conséquences de la maladie et des traitements sur la santé sexuelle, la sexualité et l’intimité ;
- Améliorer la satisfaction, le fonctionnement et le bien-être sexuel ;
- Améliorer la perception de l’image de soi en lien avec la sexualité et l’intimité ;
- Éduquer à la sexualité et aux impacts attendus du cancer et de ses traitements sur la santé sexuelle, la sexualité et l’intimité.
Quand puis-je avoir recours à de l’aide sexologique ?
Les services en sexologie s’adressent aux personnes qui ont des difficultés sexuelles induites par le cancer et ses traitements, telles que :
- Trouble sexuel induit par le cancer et ses traitements (p.ex. dysfonction érectile, douleurs à la pénétration, etc.)
- Difficultés ou préoccupations ayant des impacts sur la sexualité et l’intimité
- Difficultés relationnelles ou de couple ayant un impact sur la sexualité et l’intimité
- Difficulté d’adaptation à une image de soi altérée par le cancer et ses traitements qui affectent la sexualité et l’intimité
- Besoin d’information générale et ponctuelle sur la sexualité et l’intimité en lien avec les impacts du cancer et ses traitements
Comment puis-je avoir accès aux services d’une sexologue en oncologie ?
Tout membre de l’équipe soignante (IPO, infirmière, technologue, médecin, travailleur social, psychologue, etc.) peut vous référer en sexologie. Vous serez alors contactée par une infirmière clinicienne qui vous posera des questions afin de préciser vos difficultés et vos besoins. Il se peut qu’elle vous propose un suivi en sexologie ou qu’elle vous redirige vers une autre ressource plus appropriée à vos besoins.
Qui est le technicien en pharmacie ?
Le technicien en pharmacie participe activement à la prestation des soins pharmaceutique en fournissant le soutien technique aux pharmaciens.
Il assure le traitement des ordonnances et des requêtes ainsi que la distribution des médicaments. Il participe au contrôle de la chaîne d’approvisionnement, de l’entreposage et des stocks. Il coordonne les préparations de produits stériles et non stériles. Il applique et met en œuvre des mesures de contrôle de qualité, de gestion des risques et d’amélioration continue au sein de notre milieu.
Le milieu oncologique
Au Centre des maladies du sein (CMS), le technicien en pharmacie spécialisé en oncologie travaille sous les hottes (salle blanche). Il prépare la chimiothérapie/ les traitements antinéoplasiques en respectant un processus rigoureux avec une double vérification entre deux techniciens. Tout le processus s’effectue également en collaboration avec un pharmacien afin de s’assurer de l’aptitude du client à recevoir le traitement prévu, de valider si des changements sont nécessaires… Chaque étape de préparation (étiquetage, produit utilisé, date d’expiration, quantité soutirée…) est photographiée afin de permettre au pharmacien de valider la concordance et d’assurer la sécurité du client. En fin de processus, le traitement est scanné et acheminé du côté de l’infirmière de la salle de traitement qui effectuera de nouvelles vérifications et administrera le traitement. Bien que le rôle du technicien en pharmacien du CMS soit très important au sein de notre équipe, ce professionnel ne rencontre généralement pas la clientèle.
Audrey Charpentier
Christine Côté
Kimberly Doyle
Geneviève Gauthier
Valérie Horn
Katarzyna Szymanska
Quel est le rôle du ou de la travailleuse sociale en oncologie?
Le travailleur social au Centre des maladies du sein a pour mission de soutenir les personnes dans l’adaptation à la maladie, et ce, à travers des rencontres individuelles, conjugales ou familiales. Les interventions sont adaptées en fonction des besoins identifiés. Elles peuvent servir à :
- Favoriser une meilleure adhésion aux traitements
- Favoriser la diminution de l’invalidité secondaire aux traitements
- Faciliter l’obtention d’une meilleure qualité de vie et/ou soutenir l’autonomie des personnes atteintes quelle que soit la phase d’évolution de la maladie
- Favoriser la reprise d’un équilibre au moins équivalent à ce qu’il était antérieurement à l’épisode oncologique
- Offrir accompagnement et soutien dans l’adaptation à la maladie et à ses répercussions sur le fonctionnement social
- Participer au rétablissement d’un nouvel équilibre biopsychosocial
- Désamorcer les situations de crise auprès de la personne, de ses proches et de son environnement
- Permettre une meilleure adéquation entre les besoins et les attentes de la personne, de ses proches et ceux de l’équipe traitante
- Veiller à la protection des individus vulnérables
- Effectuer les interventions nécessaires lorsque des problématiques font obstacle au plan d’intervention (adhésion à des traitements, fin d’hospitalisation, etc.)
- Anticiper des besoins à considérer en prévision d’un retour dans la communauté en complémentarité avec l’équipe interdisciplinaire ;
Qui peut bénéficier des services du travailleur social au Centre des maladies du sein?
- La personne atteinte de cancer du sein
- Les proches de la personne atteinte d’un cancer du sein (partenaire de vie, enfants, parents)
- Les autres professionnels œuvrant auprès de cette clientèle
Quand puis-je avoir recours à de l’aide d’un travailleur social?
Dès la confirmation du diagnostic de cancer du sein, il est possible d’avoir accès à un travailleur social. Vous pouvez en faire la demande à n’importe quel membre du personnel administratif, infirmier ou médical. Au besoin, vous pouvez contacter l’Équipe psychosociale et spirituelle au (418) 525-4444 poste 67202.
Isabelle Audet
Annie Lessard
Autour de cette équipe, gravitent l’équipe de recherche , des plasticiens, des nucléistes, des radiologues, des pathologistes, des techniciens etc.
À propos
Organisme | Recommandations |
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St-Gallen 2019 [6,7] | Régime à base d’anthracyclines et de taxanes pour les T1c et plus, donné de façon dose-dense (la taxane pouvant être donnée de façon dose-dense ou hebdomadaire). |
NCCN [8] | Régimes favorisés AC dose-dense → paclitaxel dose-dense AC dose-dense → paclitaxel hebdomadaire TC |
ASCO [9] | Régimes acceptables: FEC-D AC → docetaxel TAC ×6* AC → paclitaxel hebdomadaire AC DD → paclitaxel dose-dense EC DD → paclitaxel dose-dense TC ×4 Si pas éligible anthracycline ou taxane, CMF po est une option. *A noter que bien que le TAC soit dans la liste des régimes acceptables, il s’agit du protocole comportant le plus haut taux de neutropénie fébrile. Par conséquent, nous ne l’utilisons pas dans notre pratique [10]. |